LofiGirl, un modèle de succès et de notoriété à la lyonnaise !

Vous êtes à la recherche d’une playlist au travail, vous avez peut-être vu passer cette image !
Depuis quelques années , la Lofi Girl est devenue une véritable référence dans le domaine de la musique, particulièrement aidée par une communication massive et une présence renforcée, Bloomea a voulu aujourd’hui se pencher sur la success story lyonnaise de la Lofi Girl.
Parce que tout projet qui fonctionne nécessite une comptabilité bien rôdée, nous analyserons les spécificités comptables qui composent le quotidien d’une entreprise comme celle-ci.
Un rêve d’étudiant lyonnais
Tout commence en 2017, dans une chambre d’étudiant à Lyon, où Dimitri, passionné de musique et de culture japonaise, lance une chaîne YouTube baptisée ChilledCow.
Avec une idée simple mais cependant visionnaire : Diffuser en continu des morceaux de lofi hip-hop, un genre musical aux sonorités douces et introspectives, constituant des conditions parfaites pour travailler, étudier ou se détendre.

Ancien logo de Lofi Girl : « ChilledCow »

Logo actuel représentant la Lofi Girl
Un personnage socle
Pour accompagner cette ambiance sonore, il choisit une animation inspirée des studios Ghibli : Une jeune fille studieuse, casque sur les oreilles, carnet ouvert, chat endormi sur le rebord de la fenêtre.
Un personnage qui deviendra rapidement le visage de la concentration numérique pour des millions d’internautes.
Un tournant majeur
En 2020, la chaîne est temporairement suspendue par YouTube, déclenchant une vague de soutien mondiale. Dimitri en profite pour repenser son identité. ChilledCow devient Lofi Girl, et le personnage animé devient une marque à part entière. Le live reprend, plus fort que jamais, et la communauté explose.
Aujourd’hui, Lofi Girl compte plus de 15 millions d’abonnés sur YouTube, des dizaines de millions d’écoutes sur Spotify, Apple Music, Deezer et autres plateformes, et une présence active sur Instagram, TikTok, Discord, Twitch et même LinkedIn. Elle a lancé son propre label musical, Lofi Records, qui produit des artistes du monde entier, et un site e-commerce qui vend vinyles, affiches et goodies à une communauté fidèle.
En 2024, Lofi Records signe un partenariat stratégique avec Warner Chappell Music France, renforçant sa légitimité dans l’industrie musicale et sa structuration juridique.
Ce qui était un projet passion est devenu une entreprise créative complète, avec des enjeux de gestion, de fiscalité, de droits d’auteur et de commerce international. Et tout cela… depuis Lyon.
Un rêve d’étudiant lyonnais
Tout commence en 2017, dans une chambre d’étudiant à Lyon, où Dimitri, passionné de musique et de culture japonaise, lance une chaîne YouTube baptisée ChilledCow.
Avec une idée simple mais cependant visionnaire : Diffuser en continu des morceaux de lofi hip-hop, un genre musical aux sonorités douces et introspectives, constituant des conditions parfaites pour travailler, étudier ou se détendre.

Ancien logo de LofiGirl : « ChilledCow »
Logo actuel représentant
la Lofi Girl

Un tournant majeur
En 2020, la chaîne est temporairement suspendue par YouTube, déclenchant une vague de soutien mondiale. Dimitri en profite pour repenser son identité. ChilledCow devient Lofi Girl, et le personnage animé devient une marque à part entière. Le live reprend, plus fort que jamais, et la communauté explose.
Aujourd’hui, Lofi Girl compte plus de 15 millions d’abonnés sur YouTube, des dizaines de millions d’écoutes sur Spotify, Apple Music, Deezer et autres plateformes, et une présence active sur Instagram, TikTok, Discord, Twitch et même LinkedIn. Elle a lancé son propre label musical, Lofi Records, qui produit des artistes du monde entier, et un site e-commerce qui vend vinyles, affiches et goodies à une communauté fidèle.
En 2024, Lofi Records signe un partenariat stratégique avec Warner Chappell Music France, renforçant sa légitimité dans l’industrie musicale et sa structuration juridique.
Ce qui était un projet passion est devenu une entreprise créative complète, avec des enjeux de gestion, de fiscalité, de droits d’auteur et de commerce international. Et tout cela… depuis Lyon.
Un rêve d’étudiant lyonnais
Tout commence en 2017, dans une chambre d’étudiant à Lyon, où Dimitri, passionné de musique et de culture japonaise, lance une chaîne YouTube baptisée ChilledCow.
Avec une idée simple mais cependant visionnaire : Diffuser en continu des morceaux de lofi hip-hop, un genre musical aux sonorités douces et introspectives, constituant des conditions parfaites pour travailler, étudier ou se détendre.

Ancien logo de LofiGirl : « ChilledCow »

Logo actuel représentant la LofiGirl
Un tournant majeur
En 2020, la chaîne est temporairement suspendue par YouTube, déclenchant une vague de soutien mondiale. Dimitri en profite pour repenser son identité. ChilledCow devient Lofi Girl, et le personnage animé devient une marque à part entière. Le live reprend, plus fort que jamais, et la communauté explose.
Aujourd’hui, Lofi Girl compte plus de 15 millions d’abonnés sur YouTube, des dizaines de millions d’écoutes sur Spotify, Apple Music, Deezer et autres plateformes, et une présence active sur Instagram, TikTok, Discord, Twitch et même LinkedIn. Elle a lancé son propre label musical, Lofi Records, qui produit des artistes du monde entier, et un site e-commerce qui vend vinyles, affiches et goodies à une communauté fidèle.
En 2024, Lofi Records signe un partenariat stratégique avec Warner Chappell Music France, renforçant sa légitimité dans l’industrie musicale et sa structuration juridique.
Ce qui était un projet passion est devenu une entreprise créative complète, avec des enjeux de gestion, de fiscalité, de droits d’auteur et de commerce international. Et tout cela… depuis Lyon.
5 piliers composants les revenus
Lofi Girl incarne bien plus qu’un univers musical apaisant : elle représente une entreprise créative aux revenus multiples et à la portée mondiale. Entre monétisation YouTube, streaming, e-commerce et partenariats, son modèle économique soulève des questions concrètes de gestion. Mais derrière cette réussite se cachent des enjeux comptables complexes que tout créateur ou entrepreneur digital doit anticiper. Passons maintenant aux défis comptables que pose une activité aussi hybride et internationale.
1/. Déclaration des revenus YouTube (BNC ou Société)
Les revenus générés par YouTube peuvent être perçus en nom propre ou via une structure juridique adaptée. Dans un premier temps, le régime micro-BNC permet au créateur de déclarer ses recettes avec un abattement forfaitaire. Toutefois, ce régime reste simple mais limité. Dès que les montants augmentent ou que des partenariats s’ajoutent, la création d’une société devient une stratégie pertinente. En particulier, une SAS permet de séparer les flux, d’optimiser les charges et de structurer l’activité. De plus, elle facilite la collaboration avec des artistes ou des marques. Ainsi, le choix du statut juridique impacte directement la fiscalité, les cotisations sociales et la gestion comptable globale du projet.


2/. TVA et ventes internationales
Lofi Girl vend des produits dérivés dans le monde entier, ce qui implique une gestion fiscale complexe. En effet, chaque pays applique ses propres règles de TVA, qu’il faut impérativement respecter. En Europe, le seuil de 10 000€ impose une déclaration locale dans le pays de destination. A l’inverse, hors UE, les règles douanières et les taxes à l’importation varient fortement selon les zones. Par conséquent, il est essentiel de suivre les flux, adapter les factures et anticiper les obligations déclaratives. Sans cette rigueur, une mauvaise gestion peut enchaîner des pénalités fiscales ou des blocages logistiques. C’est pourquoi l’automatisation des calculs et l’intégration d’un logiciel comptable adapté deviennent des leviers indispensables pour sécuriser l’activité e-commerce.
3/. Droits d’auteur : Une répartition à encadrer
Le Label Lofi Records produit des morceaux diffusés sur plusieurs plateformes, ce qui implique une gestion des droits d’auteur structurée. A chaque diffusion, des droits d’auteur sont générés, constituant une source de revenus essentielle. Ces montants doivent être répartis équitablement entre le compositeur, le label et l’éditeur. Pour cela, il est indispensable d’établir des contrats clairs, de suivre les reversements et de déclarer les montants aux organismes compétents. En particulier, la gestion éditoriale, notamment en cas de partenariat avec Warner Chappell, demande une rigueur juridique et comptable. Sans cette vigilance, les litiges ou les oublis peuvent nuire à la crédibilité du projet et fragiliser les relations professionnelles.


4/. Quel statut juridique pour une activité hybride ?
Lofi Girl combine streaming, e-commerce et production musicale, ce qui nécessie une structure juridique adaptée. En effet, une SAS offre à la fois souplesse et crédibilité, tout en permettant d’intégrer des associés, de lever des fonds et de salarier des collaborateurs. Pour aller plus loin, la création d’une holding permet de séparer les activités : Label, boutique, production musicale… Ainsi, cette structuration optimise la fiscalité, sécurise les flux financiers et facilite la croissance du projet. En définitive, le choix du statut juridique doit refléter les ambitions du projet et anticiper ses évolutions futures.
5/. Comptabilité e-commerce : Ne rien laisser au hasard
Vendre des vinyles ou des affiches implique une gestion fine des stocks, essentielle la rentabilité du e-commerce. En effet, chaque produit doit être suivi précisément : Entrées, sorties, retours. De plus, les frais de port, les remises et les plateformes de paiement doivent être intégrés dans la comptabilité. Il est donc crucial d’anticiper les retours clients, les remboursements et les écarts de marge. Ainsi, un tableau de bord clair permet de piloter l’activité efficacement et d’éviter les pertes invisibles. En définitive, la comptabilité e-commerce demande précision, réactivité et des outils adaptés pour accompagner la croissance.

1/. Déclaration des revenus YouTube (BNC ou Société)
Les revenus générés par YouTube peuvent être perçus en nom propre ou via une structure juridique adaptée. Dans un premier temps, le régime micro-BNC permet au créateur de déclarer ses recettes avec un abattement forfaitaire. Toutefois, ce régime reste simple mais limité. Dès que les montants augmentent ou que des partenariats s’ajoutent, la création d’une société devient une stratégie pertinente. En particulier, une SAS permet de séparer les flux, d’optimiser les charges et de structurer l’activité. De plus, elle facilite la collaboration avec des artistes ou des marques. Ainsi, le choix du statut juridique impacte directement la fiscalité, les cotisations sociales et la gestion comptable globale du projet.
2/. TVA et ventes internationales
Lofi Girl vend des produits dérivés dans le monde entier, ce qui implique une gestion fiscale complexe. En effet, chaque pays applique ses propres règles de TVA, qu’il faut impérativement respecter. En Europe, le seuil de 10 000€ impose une déclaration locale dans le pays de destination. A l’inverse, hors UE, les règles douanières et les taxes à l’importation varient fortement selon les zones. Par conséquent, il est essentiel de suivre les flux, adapter les factures et anticiper les obligations déclaratives. Sans cette rigueur, une mauvaise gestion peut enchaîner des pénalités fiscales ou des blocages logistiques. C’est pourquoi l’automatisation des calculs et l’intégration d’un logiciel comptable adapté deviennent des leviers indispensables pour sécuriser l’activité e-commerce.
3/. Droits d’auteur : Une répartition à encadrer
Le Label Lofi Records produit des morceaux diffusés sur plusieurs plateformes, ce qui implique une gestion des droits d’auteur structurée. A chaque diffusion, des droits d’auteur sont générés, constituant une source de revenus essentielle. Ces montants doivent être répartis équitablement entre le compositeur, le label et l’éditeur. Pour cela, il est indispensable d’établir des contrats clairs, de suivre les reversements et de déclarer les montants aux organismes compétents. En particulier, la gestion éditoriale, notamment en cas de partenariat avec Warner Chappell, demande une rigueur juridique et comptable. Sans cette vigilance, les litiges ou les oublis peuvent nuire à la crédibilité du projet et fragiliser les relations professionnelles.
4/. Quel statut juridique pour une activité hybride
Lofi Girl combine streaming, e-commerce et production musicale, ce qui nécessie une structure juridique adaptée. En effet, une SAS offre à la fois souplesse et crédibilité, tout en permettant d’intégrer des associés, de lever des fonds et de salarier des collaborateurs. Pour aller plus loin, la création d’une holding permet de séparer les activités : Label, boutique, production musicale… Ainsi, cette structuration optimise la fiscalité, sécurise les flux financiers et facilite la croissance du projet. En définitive, le choix du statut juridique doit refléter les ambitions du projet et anticiper ses évolutions futures.
5/. Comptabilité e-commerce : Ne rien laisser au hasard
Vendre des vinyles ou des affiches implique une gestion fine des stocks, essentielle la rentabilité du e-commerce. En effet, chaque produit doit être suivi précisément : Entrées, sorties, retours. De plus, les frais de port, les remises et les plateformes de paiement doivent être intégrés dans la comptabilité. Il est donc crucial d’anticiper les retours clients, les remboursements et les écarts de marge. Ainsi, un tableau de bord clair permet de piloter l’activité efficacement et d’éviter les pertes invisibles. En définitive, la comptabilité e-commerce demande précision, réactivité et des outils adaptés pour accompagner la croissance.
1/. Déclaration des revenus YouTube (BNC ou Société)
Les revenus générés par YouTube peuvent être perçus en nom propre ou via une structure juridique adaptée. Dans un premier temps, le régime micro-BNC permet au créateur de déclarer ses recettes avec un abattement forfaitaire. Toutefois, ce régime reste simple mais limité en termes d’optimisation fiscale. Dès que les montants augmentent ou que des partenariats s’ajoutent, la création d’une société devient une stratégie pertinente. Une société permet, entre autre, de séparer les flux, de déduire les charges au réel et d’optimiser la rémunération, . De plus, elle facilite la collaboration avec des artistes ou des marques. Ainsi, le choix du statut juridique est une décision réfléchie et dépends de nombreux critères.
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2/. TVA et ventes internationales
Lofi Girl vend des produits dérivés dans le monde entier, ce qui implique une gestion fiscale complexe. En effet, chaque pays applique ses propres règles de TVA, qu’il faut impérativement respecter. En Europe, le seuil de 10 000€ impose une déclaration locale dans le pays de destination. A l’inverse, hors UE, les règles douanières et les taxes à l’importation varient fortement selon les zones. Par conséquent, il est essentiel de suivre les flux, adapter les factures et anticiper les obligations déclaratives. Sans cette rigueur, une mauvaise gestion peut enchaîner des pénalités fiscales ou des blocages logistiques. C’est pourquoi l’automatisation des calculs et l’intégration d’un logiciel de gestion adapté deviennent des leviers indispensables pour sécuriser l’activité e-commerce.
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3/. Droits d’auteur : Une répartition à encadrer
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4/. Quel statut juridique pour une activité hybride ?
Lofi Girl combine streaming, e-commerce et production musicale, ce qui nécessite une structure juridique adaptée. En effet, dans ce type de business et selon les stratégies de croissance, une SAS offre à la fois souplesse et crédibilité, tout en permettant d’intégrer des associés, de lever des fonds et de fidéliser ses collaborateurs via des mécanismes de participation au capital. Pour aller plus loin, la création d’une holding en SARL ou SAS permet une optimisation fiscale, sociale ou patrimoniale . En définitive, le choix du montage et de la forme juridique des sociétés doit refléter les ambitions du projet et anticiper ses évolutions futures.
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5/. Comptabilité e-commerce : Ne rien laisser au hasard
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Oui, on risque de se répéter mais structurer une entreprise et un vaste réseau comme la Lofi Girl nécessite de connaître des bonnes pratiques générales.
Alors reprenons nos dires et listons les meilleures pratiques à absolument connaître !
Lofi Girl incarne une nouvelle génération d’entreprises créatives, nées sur le web mais structurées comme de véritables sociétés. Derrière ses playlists apaisantes se cache un modèle économique complet, mêlant streaming, e-commerce, droits d’auteur et partenariats. Cette diversité impose une gestion comptable rigoureuse, adaptée à chaque flux et chaque activité.
Pour les créateurs, artistes ou entrepreneurs digitaux, Lofi Girl montre qu’il est possible de grandir sans perdre son identité. Mais cette croissance demande des choix stratégiques : Statut juridique, suivi des revenus, gestion des droits et anticipation fiscale. Structurer dès le départ permet de sécuriser l’activité, d’optimiser les marges et de rester libre dans sa création.
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Chez Bloomea, nous accompagnons ces profils hybrides avec des outils clairs, des conseils adaptés et une approche humaine. Parce que derrière chaque projet créatif, il y’a une logique comptable à construire. Et parfois, elle commence… avec une fille qui étudie, un chat qui dort, et une musique qui tourne en boucle.







